“Chaque petit pas” est une chanson née d’un moment fragile.
Quand on traverse un burn-out ou un traumatisme lié au travail, même les gestes les plus simples peuvent devenir une montagne. J’avais besoin d’une chanson qui parle vrai : une chanson douce, qui rappelle que chaque geste, même minuscule, compte.
C’est une invitation à se relever lentement, à s’écouter, à avancer sans pression… juste pas à pas.

“Enfin libre” parle d’un choix difficile : celui de rompre un contrat de travail pour retrouver sa paix intérieure.
Parfois, un contrat peut devenir une laisse invisible, un lien qui serre trop fort et empêche de respirer.
Ce morceau exprime le soulagement profond que j’ai ressenti le jour où j’ai décidé de me libérer de ce qui ne me faisait plus avancer.
C’est une chanson qui célèbre le courage de se choisir, enfin.

“Laisse aller” est une chanson pensée comme une respiration.
Elle invite à relâcher les tensions, à laisser tomber ce qui pèse trop lourd, à retrouver un instant de calme dans le tourbillon du quotidien.
C’est un morceau pour s’apaiser, se recentrer et laisser le corps souffler, tout simplement.

“RÉTE compas” est une chanson comme un pense-bête pour ne plus s’oublier.
Avant chaque action, elle rappelle quatre questions simples :
R pour Responsabilité, É pour Énergie, T pour Temps, E pour Envie.
Un petit guide musical pour vérifier si ce que l’on fait est vraiment juste pour soi — et avancer de façon plus douce, plus consciente.

“Dire au revoir n’est pas toujours un adieu” est une chanson née d’un moment délicat : celui où l’on doit se séparer de quelqu’un avec qui on a beaucoup avancé.
Parfois, quitter une personne importante n’est pas un choix facile, et cette chanson m’a aidée à apaiser ce passage.
Elle rappelle qu’un au revoir n’efface pas tout : certains liens restent, même quand les chemins changent.

“On ne choisit pas les bons héros” rend hommage à ces personnes qui agissent dans l’ombre.
Celles qui aident, qui réparent, qui donnent de leur temps sans chercher la lumière.
Cette chanson parle de la différence entre ceux qui prennent la gloire… et ceux qui changent vraiment le monde, à leur manière, avec discrétion.
C’est aussi ma façon de dire merci à mon entourage, à ceux qui ne m’ont jamais lâchée.

“Trouve ta grotte” est une chanson-refuge.
Quand on ne va pas bien, tout devient plus fort, plus lourd, et nos filtres ne protègent plus autant.
Cette chanson invite à se créer un espace à soi — réel ou intérieur — où l’on peut souffler, se recentrer et retrouver un peu de calme.
Une technique précieuse à garder sous le coude pour les jours difficiles.

“C’est qui, qui a fait ça ?” est une chanson née d’un constat simple :au travail, il suffit parfois d’une petite erreur pour que l’ambiance change. Un oubli, un détail… et soudain, la tension monte, les regards cherchent un responsable, alors qu’il suffirait de quelques minutes pour régler les choses. Cette chanson veut ramener de la légèreté là où, parfois, on se complique la vie. Elle rappelle que derrière chaque maladresse, il y a surtout des humains qui font de leur mieux, et qu’un sourire partagé vaut mieux qu’un doigt pointé. C’est un morceau qui invite à respirer, à rester une équipe, et à transformer les petits chaos du quotidien en quelque chose de plus doux.

Cette chanson est née de ce que j’ai vécu… et de ce que j’ai vu autour de moi. Dans une entreprise, on devrait avancer ensemble, mais l’ego de certains managers fait parfois l’inverse. Les départs se multiplient, rien ne change, et eux pensent encore être dans le bon. Aujourd’hui, je sais que je n’ai plus besoin de chefs. J’ai besoin d’un vrai leader : quelqu’un qui écoute et qui fait grandir. Pour moi, beaucoup de burn-out commencent là. Ce morceau porte simplement mon espoir:  croiser enfin un leadership plus humain.

Cette chanson est née de mon signe, le lion, mais surtout de ce que je ressens  
profondément: j’ai toujours trouvé plus de force pour protéger mes enfants que pour me protéger moi-même. Dans le monde dans lequel on vit, cette force-là est devenue mon instinct, mon rugissement intérieur. Ce morceau, c’est ma façon de dire d’où je viens et ce qui me fait tenir debout.

Cette chanson est née de mon amour pour Noël, de cette magie qui revient chaque année
et qui réchauffe même les journées les plus froides. J’avais aussi envie d’une chanson rien qu’à nous, une chanson qui ressemble à nos moments, à nos rires, à nos petites traditions…
et où le chat a aussi sa place, comme si la fête ne commençait vraiment qu’avec lui. Un petit morceau de fête. 

Cette chanson est née d’un besoin de douceur. Je l’ai créée pour m’aider à commencer mes matinées sans stress, pour me poser avant que la journée ne démarre vraiment. Avec le temps, elle est devenue bien plus qu’un réveil : une petite méditation, un refuge, un rythme qui me ramène à moi. Quand l’angoisse monte, je la mets en boucle, je respire avec la musique, et je me rappelle que je ne suis obligée de rien, que tout peut attendre quelques minutes. Cette chanson m’a déjà beaucoup aidée — et j’espère qu’elle pourra offrir la même paix à d’autres.

Cette chanson est née de cette envie de remettre du mouvement dans le corps, de rallumer l’élan quand l’énergie revient enfin. C’est un morceau qui donne du peps, qui aide à avancer, à se laisser porter par le rythme et à savourer ces instants où l’on se sent plus haut, plus léger. C’est aussi un petit rappel : quand le souffle revient, on peut se lâcher un peu, danser, marcher, vibrer… et laisser la vie circuler à nouveau.

Cette chanson est née simplement du plaisir d’écrire. De ce moment où les mots viennent sans effort, où la musique se pose naturellement, et où je crée juste parce que ça me fait du bien. Un morceau léger, sincère, qui célèbre la joie d’inventer, d’exprimer et de laisser mes chansons vivre comme elles viennent.

Cette chanson est née d’un constat simple : quand je regarde mon avenir, c’est encore flou.
Je l’ai écrite pour me booster, pour me rassurer, pour me rappeler que même si je ne sais pas encore où je vais, j’avance quand même — et c’est déjà précieux. On attend souvent de nous que l’on décide vite, que l’on se relève sans hésiter, mais la réalité est plus douce et plus lente. Entre la peur de retomber, l’envie de mieux, et le fait de ne pas être entièrement remise, mon chemin se construit pas à pas. Ce morceau dit juste ça : même quand la route semble vide, le mouvement existe déjà.